Extrait du journal de bord du Jeudi 19 mai 2011
samedi 14 septembre 2013 par bendyglu
Profitant d’une belle journée de printemps et d’une mer calme, l’équipage se délassait en pêchant mollement à la ligne, quand soudain l’hameçon remonta une gigantesque sardine auto-arrosée à la stupeur de tous les parasites présents sur le pont :
Un extrait aussi incompréhensible que pompier d’une préface de Thierry Discepolo Mark Twain sur le site d’Agone :
Depuis quelques années, les producteurs de livres francophones semblent conjuguer leurs efforts pour faire oublier que Mark Twain est un auteur de « “livres d’enfants” (ce qu’ils ne sont pas) » (Orwell). Cette translation s’accompagne en général d’un exercice d’admiration – qui doit être, sans parler des usages convenus de « la réclame », le seul chemin autorisé pour occuper même un banc reculé dans le panthéon littéraire. Qualifié aussi bien de Rabelais ou de Cervantès américain que de « doyen de l’humour américain », Mark Twain aurait « rendu le monde meilleur par sa présence » ; il serait le « premier véritable auteur américain » pour Faulkner et le « père de la littérature américaine » pour Eugène O’Neill ; ses aventures de Tom Sawyer et de Huckleberry Finn auraient été élevées par Hemingway au rang de « meilleurs livres que nous ayons eus. Tout ce qui s’écrit en Amérique vient de là. Il n’y avait rien avant. Il n’y a rien d’aussi bon depuis ». Tout cela n’est peut-être pas faux…
ça va mal... La fin est un pastiche de l’inimitable style bouveressien...
PS (sic) : on nous signale qu’il n’y a pas de "bancs" au Patnhéon.
fr La Croisière du Marcel-Noël-Bourdieu ?