Scènes de la vie de bureau
dimanche 15 septembre 2013 par bendyglu
"Cette situation produit une division entre ceux qui « trouvent les livres » (gravitant dans les milieux intellectuels, notamment parisiens) et « ceux qui les font devenir objets » ; entre ceux qui travaillent sur les textes et « agencent les livres entre eux » pour former une ligne éditoriale et ceux qui les mettent en forme et en circulation." (Communiqué patronal)
"Quant au laborieux travail de collecte de matière première, n’exagérons pas la lourdeur de la glèbe du 5e arrondissement parisien : Agone est désormais assez installé pour que la nécessaire (?) part de capital symbolique académico-dominant tombe, non pas toute seule, mais enfin sans trop de mal. Ainsi on aurait pu consacrer le maximum de temps et d’efforts à ce qui aurait dû rester notre raison d’être : aller voir en bas si on y était. Or le père fondateur passait de plus en plus de temps par en haut – un sacrifice, à l’en croire, que cette douloureuse mais indispensable « connexion » –, sans pourtant que ses missions d’altitude n’eussent été programmées collectivement, ni même que leur contenu fût bien clair pour les soutiers de Marseille, bien placés pour savoir que le dirlo n’assurait nullement seul « l’essentiel des relations entre la maison d’édition et ses interlocuteurs extérieurs »."(Michel Canal Encre Rouge)
fr Pastiches, canulars Kraussiens & exercices ?