Quelques 400 roms (dont plusieurs "Léonarda"...) vivaient sur cette décharge sauvage depuis plus de deux ans. Un avis d’expulsion était décidé en juillet 2013.
Dans la nuit tous les roms ont abandonné ce "village sur décharge" pour s’éparpiller dans quelque autre faille sordide de la ville et continuer leur sinistre errance.
Pour une édition militante au service de la pensée critique et des luttes ! Pour une édition comme bien commun.
Exigeons la convocation de tous les membres de l’association !